Composition du recueil

Le recueil est composé d’un poème d’ouverture, d’un prologue, de 18 nouvelles (regroupées par trios, eux-mêmes séparés par un poème), d’un épilogue et d’un poème de clôture. Les poèmes ne figurent pas dans le sommaire.

Néant

Le Docte et l’Innocente

L’enfant et la lady

Nona, Decima, Morta

Guerre, guerre, vente vent

La Réponse

La folie d’Atlantis sous un millier de plumes

Le Roi Tout Plein

Le grain de sable

La Fille Fils Coupés et le Serpent Fourché

La Négativiste

Le rouge

Céleste et le corbeau

Hantise

La tyrannie du vers

L’âme miroir

Le songe inassouvi

La caverne

Théâtre dans un linceul

 In Nocte profunda

Le chiffre 18 est important : d’une part parce qu’étant un multiple de trois, cela me permettait d’insérer des poèmes à intervalles réguliers, d’autres parts parce que c’est le numéro de la lettre grec Sigma que je reprends dans un autre ouvrage pour représenter l’Inspiration. A la base, comme je l’ai dit auparavant, cette chronique doit être le livre de chevet de l’héroïne d’une histoire de fantasy moderne. C’est dans cette même histoire que l’on trouve aussi Sigma. Il y aura d’autres petites correspondances.

Les histoires du recueil sont connectées les unes aux autres mais sans se suivre dans les détails. L’ordre est cependant important. Les morts ne reviennent jamais.

 Ce sont des impressions fugaces, des personnages qui refont surface, parfois de la même façon, parfois sous une autre forme, des thématiques que j’exploite de manières différentes (par exemple, dans la « tyrannie du vers », la poésie devient le symptôme d’une société totalitaire, soumise à la rigidité de la rime et du mètre, tandis que dans « la caverne » elle permet d’obtenir la libération.)

Un dernier point : le prologue et l’épilogue ne se correspondent pas du tout. Il y a une raison à cela. Je vous laisse la découvrir.